samedi 29 décembre 2012

Les Cahiers de Science & Vie 132 : L'homme et la machine



Incroyable, fantastique, merveilleux ! Alors que je n’y croyais plus depuis des lustres, voici que j’ai finalement finis par achever la lecture du cent-trente-deuxième numéro des Cahiers de Science & Vie ; pourtant, que ce fut dur, mais alors, très dur… Déjà, il faut dire que je ne m’attendais pas à vous en parler avant la nouvelle année, après tout, ne vous avais-je pas dit, lors de mon billet consacré à Ça m’Intéresse Histoire, il y a quelques jours à peine, que celui-ci serait le dernier de la catégorie Presse pour cette année 2012 ? Et puis, finalement, hier soir, pris d’un coup de folie, je me suis décidé, une bonne fois pour toutes, a en finir avec ce numéro sur lequel je bloquais depuis… oh, septembre dernier – et oui, alors qu’en 2012, les Cahiers de Science & Vie, anciens comme nouveaux numéros, avaient tenus la dragée haute à tous les autres magazines, la dernière fois dont je vous avais parler de ce magazine, datait de… début aout dernier ! Bref, une éternité ! Enfin bon, tout cela pour vous dire que ce numéro des Cahiers m’aura donné bien du fil a retorde, mais avant de vous dire ce que j’en ai pensé, place au sommaire :

Les Cahiers de Science & Vie n°132 : L'homme et la machine
Septembre/Octobre 2012

L'homme et la machine
- Cadrage : Réanimer des mécanismes oubliés.
- Interview : « La guerre et le jeu ont inspiré les inventeurs à travers les époques » de Bruno Jacomy
I - La machine prolonge le corps
- Et l'homme inventa la machine
- Premières technologies
- Mésopotamie. Des ingénieurs inventifs et dynamiques.
- Egypte. Les techniciens du beau.
- Indus. Les maîtres de l'urbanisme.
- Génie grec, pragmatisme romain
- La Chine, à la source des innovations
II - Vers les machines modernes
- Le monde arabo-musulman
- La mécanique au rang de science.
- Europe médiévale
- Les prémices d'une révolution.
- Renaissance
- L'ingénieur, théoricien de la modernité.
- Age classique
- La machine de Marly.
- Révolution industrielle
- Transport vers l'ère moderne.
III - La machine prolonge l'esprit
- Alan Turing : le concept de machine universelle
- De la machine à penser à l'ordinateur
- L'homme artificiel, la quête de la machine idéale
- Musée imaginaire
- Les automates ou la mécanique du merveilleux.
IV - D'hier à aujourd'hui
- La machine affranchit-elle l'homme de l'évolution ?
- Quand l'homme et la machine ne font plus qu'un
- Crimes et chiffrement
- Interview : « L'ordinateur exprime la spécificité de l'homme : jouer avec les symboles » de Jean-Michel Salanskis

L’on aurait pu penser que si j’ai pris quatre mois pour achever ce numéro des Cahiers de Science & Vie, c’est que le sujet de celui-ci ne me plaisait pas, or, si je dois reconnaitre que l’évolution des machines dans l’histoire humaine n’avait pas de quoi me faire sauter au plafond, j’étais tout de même curieux d’en apprendre davantage sur la chose. Pourtant, comme vous l’avez compris, que ce fut dur… au début, pendant les premières semaines après l’achat de ce numéro, j’ai essayé et réessayer en recommençant à chaque fois la lecture de celui-ci, avant de, finalement, laisser tomber en me disant que je le lirais bien un jour ou l’autre ; mais le problème, c’est que, pendant que les mois s’écoulaient, d’autres numéros des Cahiers paraissaient en kiosque et que, à un moment donné, je me suis retrouver avec trois d’entre eux à lire, pendant que d’autres revues, elles, aussitôt elles étaient achetées, aussitôt elles étaient lues avec passion. Bref, je commençais à me dire que j’avais un problème avec les Cahiers de Science & Vie, alors que, jusque-là, tout baignait, ou presque.

Et puis, finalement, ces derniers jours, je me suis relancé pour de bon dans ce cent-trente-deuxième numéro, quitte à me forcer, comme je l’ai fait hier, car oui, et je regrette de dire cela : je n’en ai pas tiré un grand plaisir. Sincèrement, le premier tiers du dossier, consacré à la préhistoire et l’antiquité valait le coup ; de même, la partie sur le moyen-âge n’était pas inintéressante, mais déjà, la renaissance m’a paru trop courte, mais alors, la révolution industrielle, son traitement fut une véritable honte tant elle fut rapidement expédié. Et tout cela pour quoi ? Pour se taper un gros tiers de la revue consacré à l’ordinateur dans tous ses états : origines, spéculations à son sujet, historique en long et en large, internet, avenir de celui-ci etc. Alors certes, je ne dis pas que ce n’est pas inintéressant, mais à un moment donné, l’histoire des machines, ce n’est pas que l’ordinateur ou je me trompe ? Et puis, déjà que ça me gonflait un peu, voilà qu’en plus c’était écrit dans un jargon pour initiés, histoire de me décourager davantage.

Dommage, oui, dommage car finalement, tout n’était pas à jeter dans ce numéro des Cahiers de Science & Vie : le premier tiers de la revue, la partie consacrée aux automates, et celle, spéculative, sur l’intelligence artificielle. Par contre, comment accorder une telle place à l’ordinateur au détriment de la révolution industrielle, aux machines à vapeur, aux débuts de l’électricité etc., pour moi, une faute impardonnable. Oui, dommage pour une revue que j’adore sincèrement, au point que je la considère comme ma préférée, et qui, jusqu’à maintenant, ne m’avait jamais déçu ; espérons juste que les deux autres numéros que j’ai en réserve soient d’un autre acabit !?

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