JELLY SPLASH
Reliez des lignes colorées de
Jellies à travers plus de 100 niveaux irrésistibles. Pourquoi ne pas plonger
dans le jeu et se délecter de Jelly
Splash ?

Et donc, si aujourd’hui, je reviens
encore sur ce constat, c’est que, bien évidemment, je mets sur ce blog à l’honneur
un énième opus que j’ai découvert il y a peu de temps et qui, en quelques jours
à peine, s’est révélé etre, comme ses prédécesseurs, toujours aussi prenant :
Jelly Splash. Ici, les choses sont
simples : s’inspirant grandement d’un Candy
Crush Saga et de toute une flopée de jeux du même genre, ce nouveau soft,
auquel on peut également jouer sur Facebook
(encore un point commun) ne révolutionnera en aucune façon le genre, bien au
contraire – mais bon, malgré son succès phénoménal, Candy Crush ne le faisait pas non plus. Ce constat, qui nous rappelle
donc que c’est toujours dans les vieux pots que l’on fait les meilleurs soupes –
entendez par là ce que vous voulez – pourrait en amener certains, et j’en fais partie,
à se dire qu’un jeu tout aussi prenant, mais original, serait préférable. Mais bon,
que voulez-vous, sur console, c’est pareil, c’est toujours les mêmes genres qui
reviennent, encore et encore (pour ne pas dire les mêmes titres) et point de vu
originalité, depuis les années 90, j’ai parfois l’impression que l’on a perdu celle-ci
en route. Enfin, peu importe puisque ici, ce qui compte, c’est que le jeu soit,
premièrement, réussi, deuxièmement, captivant au possible : Jelly Splash répondant parfaitement a
ses deux critères, que demander de plus ? Alors bien sûr, les amateurs de Candy Crush Saga qui en auront finis
avec celui-ci où qui en ont marre de bloquer pendant des jours et des jours sur
tel niveau qui semble impossible à passer avant de, par miracle, réussir et
etre de nouveau bloquer deux ou trois niveaux plus loin (hum, c’est moi ça)
seront en terrain plus que familier : toujours des décors enfantins et
sympathiques, pas de bonbons mais des petites créatures, des Jellies, a
dégommer en faisant des lignes, une interface verticale pomper sur qui vous
savez, même système de vies qui vous oblige à patienter ou à en demander sur Facebook (en vain), diverses missions
comme dépasser un certain score, éliminer du limon sombre etc. et, pour finir,
la possibilité pour ceux qui ont de l’argent à jeter par les fenêtres d’acheter
des aides qui, dans ce genre de jeux, n’ont sont pas forcément. Mouais, pour l’originalité,
on repassera… sauf que, sauf que ça marche tout de même : est-ce le
concept qui est de toute façons tellement bon que quoi qu’on nous propose, on
aimera, est-ce les graphismes qui, ici, sont pour le moins réussis (enfin, dans
le genre), est-ce la possibilité de pouvoir faire des lignes en diagonale (ce
qu’on ne pouvait pas réaliser dans Candy
Crush, à mon grand désarroi) mais quoi qu’il en soit, il ne m’aura fallu
que quelques parties pour que je réalise que, moi aussi, j’étais devenu accro a
Jelly Splash !
Bref, sans révolutionner en aucune façon
le genre, loin de là, Jelly Splash s’avère
etre un bon petit jeu comme on les aime, au concept d’une simplicité enfantine
mais qui s’avère etre diabolique et suffisamment prise de tête comme il se doit
– enfin, en dehors de ce fichu niveau 40 sur lequel je bloque depuis hier après-midi,
je trouvais les niveaux plus simples que sur Candy Crush – et qui, fort probablement, vous fera passer de grands
moments vidéoludiques et même, quand enfin vous viendrez a bout du fameux
niveau 40, hurler de joie dans les WC – ou en tout autre lieu ou aura lieu la
chose. Rien de neuf sous le soleil, certes, mais bon, à sa décharge, si Jelly Splash ressemble comme deux
gouttes d’eau a Candy Crush Saga, il
est loin, très loin même d’etre le seul, sauf que lui, il est plutôt réussi, et
pour avoir tester d’autres softs du même genre, je peux vous assurer que je
suis loin d’accrocher aux autres, bien au contraire.
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